Le Parisien qui a un peu visionné l’émission, relaye quelques confidences de l’acteur, toujours en pleine présentation de son ouvrage « Ailleurs ».
Il raconte les pense-bêtes qu’il collait sur John Malkovich en cas de trou de mémoire, les « journalistes à la c*n », la religion (« J’adore. Pas les catholiques. J’aime les juifs ».
Gérard Depardieu assure par ailleurs qu’il ne boit plus, « Ou alors très
vite ».
La crise sanitaire est aussi évoquée, et confirme qu’il n’a toujours pas le droit au vaccin alors qu’il est dans une situation de fragilité.
« Les cinq pontages, l’asthme, le diabète, le surpoids… », a-t-il listé.
« Le pouvoir, c’est la liberté », « l’éternité du présent, je la retrouve ailleurs », a par ailleurs lancé l’acteur chez Claire Chazal.
Quelques mois plus tôt, il affirmait "que ( la France) est triste », que « [Les Français] sont très tristes ».
« D’ailleurs, je ne les vois pas, parce que quand je suis ici je sors très peu. Et quand je ne suis pas là, je suis ailleurs », a-t-il indiqué, en référence au titre de son ouvrage. Il affirmait qu’il allait bouger après avoir été coincé dans son château à cause du Covid-19.
« Mais là, je cherche à tout vendre. J’ai déjà vendu tous les restaurants, là je vais vendre ça bientôt. Je pense que je vais vendre le château et le vignoble. Peut-être… c’est en pourparlers, on va voir », a confié celui qui a vécu à Novosibirsk, en Sibérie, « avec un ami ». C’était à « Saransk, à côté de la Mordovie.
« Tu te croirais dans la Dolce vita, il y a des paysages magnifiques », a assuré Gérard Depardieu.