France Dimanche s’était interrogé sur la cause de la crise des dissensions, en se basant sur les explications livrées par Stéphane Koechlin, auteur de « Gad Elmaleh, la vie pas normale », sortie aux « éditions du Moment ».
« Durant des semaines, autour du petit Raphaël, l’orage a grondé entre la famille de Gad Elmaleh et celle de Charlotte Casiraghi . L’objet de la discorde ? La religion, sujet éminemment délicat », était-il indiqué dans les colonnes de l’hebdomadaire.
Des membres de la famille de Gad Elmaleh dont son père David, et son oncle Albert, se seraient montrés réticents à ce que le fils que l’humoriste a eu de sa relation avec Charlotte Casiraghi soit baptisé. À Monaco, le catholicisme est une la religion d’État.
« Sa mère, Régine, accepta de s’y rendre », précise le magazine. « Elle emmena l’aîné de Gad, Noé, et s’installa au premier rang de la chapelle. Puis, ce joli monde rejoignit les hauts murs du palais pour un déjeuner sélect », rapportait la publication.
Gad Elmaleh avait déjà répondu aux rumeurs dans Gala, en évoquant la double culture de son fils comme une richesse.
Et dans son spectacle, il rappelle sa proximité avec la religion catholique. Il évoque même des funérailles.
« Il y a un niveau d’organisation et de prod qui est inégalable », commente l’humoriste. Entre l’encens, la musique, les photos du défunt, les « micros qui marchent ».
« J’ai assisté il n’y a pas longtemps à des obsèques cathos dans une église, je te jure je voulais être le décédé, c’est un truc de fou ! » a lancé celui qui a par ailleurs les bénéfices d’une soirée de son show « D’ailleurs » à un projet de la paroisse Sainte-Cécile à Boulogne.