Frédéric Beigbeder est allé trop loin sur le plateau de Touche pas mon poste, sur C8, où une guerre civile est évoquée en soutien aux propos de Nicolas Bedos qui a appelé les Français à ne plus porter de masques. Le réalisateur a finalement fait machine arrière.
"On est quasiment dans une guerre civile", a commenté Frédéric Beigbeder, qui était au téléphone avec Cyril Hanouna pour soutenir l’appel à la rébellion lancé par Nicolas Bedos.
"Vivez à fond, tombez malades, allez au restaurant […] Nous devons vivre, quitte à mourir », anticipant que son cri de coeur « sera couvert d’affronts ». Et il a eu raison.
Et aujourd’hui, il fait machine arrière.
"Je me permets de rappeler à certains journalistes que je ne suis pas ministre de la Santé (J’en serais bien e***erdé".
"Je ne suis qu’un auteur, ce qu’on appelait jadis avec un soupçon de mépris, un pamphlétaire. Et accessoirement, je vous rappelle que nous sommes encore libres de penser différemment, de débattre, de nous indigner, et de même de nous tromper".
"Nos désaccords, nos mots, fussent-ils maladroits - sont un peu d’oxygène dans le flux des directrices".
">September 25, 2020— Nicolas Bedos (@nicolasbedos1) https://twitter.com/nicolasbedos1/status/1309385510859796480
">September 24, 2020"On est quasiment dans une guerre civile"
Frédéric Beigbeder est avec nous au téléphone pour soutenir l'appel à la rébellion lancé par Nicolas Bedos #TPMP pic.twitter.com/tx4cLWSFKS
— TPMP (@TPMP) https://twitter.com/TPMP/status/1309207871733796864
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