François Fillon potasse l’anglais avec Penelope pour son futur job

2 août 2017 - 15h00 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

Défait au premier tour de l’élection présidentielle, François Fillon est tourné vers l’avenir, et prépare activement sa conversion dans le busi­ness inter­na­tio­nal.

Cette semaine, Paris Match nous donne des nouvelles de l’ex candidat de l’UMP à la présidence de la république. François Fillon serait en passe de faire sa conversion en s’engageant dans le privé.
L’ex premier ministre travaille­rait conscien­cieu­se­ment son anglais.

Pour cela, il peut compter sur le soutien sans faille de son épouse Pene­lope, qui est origi­naire du Pays de Galles.
C’est à la rentrée que l’ex candidat à la présidence de la république devrait occuper son nouveau poste.
Il était rappelé il y a peu, que contrairement à son mari François Fillon, ex candidat des L.R à la présidence de la république, Penelope Fillon n’aime pas l’argent.

Cette confidence, la journaliste Sylvie Bommel, auteure de la biographie « Penelope », l’a faite dans les pages du magazine Elle.

Elle explique que l’arrivée de l’épouse de l’ex premier ministre dans le 7e arrondissement de Paris, « en 2007, lui a été fatale ».

« Au début, elle n’aimait pas voir des Ferrari à la sortie de l’école où elle avait inscrit leur petit dernier. Mais elle s’est fait des amies, un vrai fan-club. En tant que femme de Premier ministre, elle a aussi profité d’avantages, lors de manifestations culturelles par exemple, auxquels elle a pris goût comme chacun d’entre nous le ferait », précise la journaliste dont l’ouvrage est disponible en librairie.
« Jusqu’alors, c’était François Fillon qui aimait le luxe, qui signait ses mails « fdebeaucé »… Son manoir vaut bien moins que l’hôtel particulier où vit aujourd’hui Nicolas Sarkozy, mais ce besoin de faire châtelain, de venger son père – pour faire de la psychologie de comptoir – qui avait moins d’argent que les parents de ses camarades de classe, est très présent chez lui. Pas chez elle. Mais, petit à petit, elle a changé, poursuit-elle.
Et à la biographe de Penelope Fillon d’ajouter : « Les gens qu’elle a côtoyés dans ce ghetto huppé de la capitale l’ont transformée. Elle n’a pas vu que c’était anormal que son fils, sa fille et elle gagnent à un moment 15 000 euros brut par mois à eux trois pour des emplois qui ne méritaient probablement pas de tels salaires ».

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