« Je ne suis pas contre tous mes anciens collègues. Là où il y a l’épaule droite du chef, quand il voit, il intervient. Il (l’agresseur, ndlr) touche ! S’il avait un couteau, il aurait pu entailler le chef », a-t-il indiqué dans le cadre du talk-show de C8. « Dans la fosse, il doit y avoir normalement un mec de la sécu. Au cas où », précise celui qui a participé à une émission de la réalité après avoir assuré la sécurité du couple présidentiel durant la campagne.
Malgré cet incident, les ardeurs du mari du Brigitte Macron ne seront pas calmées pour autant et pour cause. !
Le chef de l’Etat aime bien les contacts avec les Français. « Le chef a toujours eu l’adrénaline du public", a-t-il assuré.
C’est presque la même analyse qui a été faite par r Jean-Pierre Diot, l’ancien chargé du président de la république, qui s’exprime dans « Le Parisien ».
« L’élément gauche » est un peu trop loin. De fait, il met du temps à intervenir et l’individu profite de cet espace pour agir », a analysé ce spécialiste. « Dans une phase comme celle-ci, normalement, plus on approche de la foule, plus on resserre le dispositif. Mais encore une fois, c’est toujours
facile d’analyser a posteriori, la réalité c’est de la tension permanente, et le danger peut venir de partout ».