À l’occasion des cinq ans de la mort de Johnny Hallyday, Jean-Claude Camus s’est livré sur les derniers moments du rockeur, des confidences qui risqueraient de blesser David Hallyday, qui n’a pas pu lui dire au revoir.
David Hallyday, tout comme sa soeur Laura Smet d’ailleurs, serait tombé de haut lorsqu’il a appris que son père, Johnny Hallyday, les avaient privé du droit moral sur son oeuvre.
Le chanteur de 52 ans expliquait que son père le lui avait promis lors d’une discussion. « Je ne vois personne d’autre », lui aurait-il lancé.
Et lorsqu’il a été informé du contenu définitif du testament de Johnny, qui laissait l’intégralité de sa fortune à son épouse, ainsi que le droit moral sur son oeuvre, il serait tombé des nues.
Comme le confirme Léna Lutaud, grand reporter du Figaro, auteure d’un ouvrage à ce sujet, « Ils se sont tant aimés », il ne s’agit plus d’une question d’argent, mais de celui qui allait s’occuper de l’oeuvre de Johnny Hallyday dans les prochaines ainées.
« Pour les enfants, c’est une bagarre bien plus douloureuse que de parler de flux financiers et de biens fonciers », a-t-elle confié lors d’un entretien accordé au ’Point’.
David Hallyday se préparait dans l’ombre à s’occuper de cette fonction surtout en tant musicien, il jouit d’une certaine légitimité.
« En utilisant la loi américaine, Johnny a déshérité ses quatre enfants et bouscule un grand tabou français », a-t-elle en outre indiqué.
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