
Thomas Sotto se retrouve sous le feu des critiques après une enquête de Télérama révélant des témoignages accablants de ses anciens collaborateurs.
Ce samedi 10 mai, l’atmosphère était chargée d’émotion et de sous-entendus sur le plateau de C l’hebdo.
Invitée d’Aurélie Casse sur France 5, Anouchka Delon s’est longuement exprimée sur la douloureuse querelle qui la déchire avec ses frères, Anthony et Alain-Fabien. Et c’est avec une finesse toute particulière qu’elle leur a adressé un message qui n’est pas passé inaperçu.
Au cours d’un échange, la fille d’Alain Delon a en effet décoché une pique à l’attention de ses frères, avec qui les relations demeurent notoirement tendues. Sollicitée par Aurélie Casse pour répondre à la même question existentielle autrefois posée à son regretté père – « en quoi aimeriez-vous être réincarnée ? » – Anouchka Delon n’a pas esquivé.
Sa réponse, pleine de sens, fut : « En roseau. Ce que m’a appris mon père, et ce que j’apprends depuis quelques mois, c’est de plier mais de ne jamais casser. Ça serait intéressant d’être un roseau pour de vrai après ». Et cela a été perçu comme une petite allusion à sa brouille avec ses frères autour de la succession d’Alain Delon.
Par la suite, celle qui serait au bord du divorce interrogée sur une éventuelle réconciliation familiale, Anouchka Delon livre sa version. Elle affirme qu’il n’y a pas de guerre alors qu’une plainte a été déposée.
« Alors, on n’est pas dans une guerre ou dans une réconciliation. Là, c’est le temps du deuil. Ça ne fait pas longtemps que notre père est parti, donc chacun gère sa douleur à sa manière », a-t-elle d’abord confié, évoquant ainsi la récente et douloureuse disparition de son père, l’icône du cinéma.
Elle a poursuivi avec une sincérité touchante : « Finalement on partage quelque chose, toujours aujourd’hui, c’est cette douleur, on est vraiment là-dedans ».
Lorsque la journaliste a cherché à savoir si son père avait souhaité les réunir, la réponse d’Anouchka répond par l’affirmative. Malheureusement, Alain Delon n’est par parvenu. « Oui, mais même si c’était une illusion de sa part, il savait au fond que ça allait être compliqué », dit-elle.
Et de poursuivre : « Il l’a toujours dit. Il ne l’a jamais caché. Ça devait peut-être être son plus grand regret, qu’il n’ait pas su réunir sa famille. En même temps, je pense qu’il l’a accepté quelque part. On ne peut pas non plus tout faire. Parfois, il y a un destin et une voie à suivre ».
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