L’héritière monégasque était fin octobre en Italie, le pays d’origine de son père, où elle a eu l’opportunité de présenter « L’Archipel des Passions », ouvrage philosophique co-écrit avec Robert Maggiori.
Et au cours d’un entretien accordé à un média local, elle a été amenée à parler « fragilité », regrettant qu’elle ne soit pas prise en compte dans « le monde actuel », où la tendance est surtout de valoriser « le pouvoir et la performance ».
« La fragilité, la vulnérabilité sont souvent éliminées », a déploré celle qui a célébré dans l’intimité le 16 novembre le 38 ème anniversaire du producteur Dimitri Rassam, le père de son second enfant, Balthazar, bientôt un an.
Et dans son ouvrage philosophique, la princesse monégasque ne manque pas de rappeler la fragilité et la faiblesse des êtres humains.
« Nous sommes faibles et vulnérables », a-t-elle insisté. Les émotions nous font comprendre que nous ne sommes jamais sûrs de notre puissance ».