Après avoir « recadré » ses nièces, Charlotte Casiraghi et Pauline Ducruet, les filles de Caroline et Stéphanie de Monaco, qui s’étaient illustrées par des propos « désobligeants » contre la principauté, le prince Albert de Monaco précise sa décision.
L’an dernier, le prince Albert de Monaco - de retour sur le rocher après une croisière autour de la Méditerranée - est supposé avoir été fâché contre ses nièces.
L’épouse de Dimitri Rassam déplorait dans les colonnes de « Schweizer-illustrierte », la pression dont les femmes font l’objet même celles issues d’un milieu privilégié comme elle. Pauline Ducruet de son côté regrettait la ’petitesse’ des gens du Rocher, où elle se sent à l’étroit.
La réplique ne s’était pas faite attendre.
« Par son travail, en Principauté ou à l’extérieur, cela implique de faire honneur à son pays dans la continuité de ceux qui nous ont précédés et dont la vie, à certaines périodes, était moins facile », lançait-il.
Cette confidence était perçue comme un recadrage de ses nièces.
Et son propos, il le précise dans un livre qui lui est consacré.
« Je n’aime pas être dur, en tout cas, je n’aime pas apparaitre comme étant dur, froid ou insensible. Je vous l’ai dit, je déteste imposer les choses. Mais si c’est la seule solution, alors je le fait sans me poser de question », dit-il en usant d’une image de baseball. « Il faut frapper quand c’est nécessaire pour son équipe ».
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