Enceinte de son troisième enfant, selon une révélation de Voici, Charlotte Casiraghi serait un peu comme sa tante Charlène de Monaco, celle de prendre certaines libertés avec son milieu.
Et même si Charlotte Casiraghi est supposée épuisée par ses nombreuses et très différentes activités, pas question de prendre du repos. Elle refuse de profiter de sa richesse dans des salons dorés. Ce serait sa grande hantise.
Le magazine ’Public’ dresse dans son édition du 10 mai un portrait un peu triste de l’héritière monégasque, l’affirmant dans un premier temps en proie avec la solitude surtout lorsqu’elle a dû se rendre en célibataire à New York pour assister au Met Gala , le rendez-vous des adorateurs de la mode. Son emploi du temps très chargé serait en cause.
Une liste de ses activités a été dressée. Et l’héritière monégasque est impressionnante.
Charlotte Casiraghi dont le mariage avec le producteur Dimitri Rassam , mère de deux enfants, est prévu au mois de juin au palais princier de Monaco, est non seulement cavalière semi-professionnelle, mais elle elle est aussi mannequin, organisatrice de conférence, patronne d’une maison d’édition.
La fille de Caroline de Monaco a même écrit un essai de philosophie. « Elle n’a rien d’une princesse dilettante qui profiterait de sa richesse dans des salons dorés », commente Public.
Rester les bras croisés seraient sa grande hantise.
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