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Charlène de Monaco, princesse pompette, surprenant surnom d’Albert de Monaco

Charlène de Monaco, princesse pompette, surprenant surnom d’Albert de Monaco

De retour sur le Rocher après un isolement forcé de quelques mois à cause d’une dépression, Charlène de Monaco aurait hérité d’un surprenant surnom en principauté, un surnom très affectueux.

Ici Paris l’avait évoqué après que la première dame monégasque s’était illustrée avant la crise sanitaire en trinquant à la victoire du pilote australien Daniel Ricciardo au Grand Prix de Monaco.

« Il n’imaginait pas une seconde qu’il rendrait la princesse Charlène ivre de bonheur », a commenté la publication, qui a récemment rassuré sur son état alors des rumeurs la prétendent au fond du seau.

D’excellente humeur, la maman de Jacques et Gabriella ne serait pas du genre à laisser passer son tour pour faire la fête. Ses proches la décrivent comme fêtarde.
Charlène de Monaco s’était alors emparée du magnum de champagne « offert traditionnellement au vainqueur et a bu quelques gouttes au goulot oubliant ses bonnes manières ».
Et depuis, l’ex
« Dans la principauté, on la surnomme désormais avec affection princesse pompette ».
La précédente édition de Grand Prix de Monaco, Charlène de Monaco n’a pas pu s’y rendre.
La raison officielle ? Après une mission dans son pays ancestral de son adolescence, l’Afrique du Sud, où elle devait mener une action humanitaire contre le braconnage, elle n’a pas pu prendre l’avion à cause d’un souci de santé.

Le Palais avait à l’époque expliqué que l’ex-nageuse devait rester sur place à cause d’une infection de la sphère ORL. Mais la vérité serait ailleurs.
D’après certaines rumeurs qui ont circulé à l’époque, la vérité serait ailleurs.

« C’est en train de prendre des proportions énormes, tout le monde commence à croire qu’elle ne rentrera pas », a raconté un membre des équipes du palais, assurant qu’en réalité, Charlène de Monaco aurait choisi de s’exiler car elle ne supportait plus les révélations au sujet de son mari. Il était fait référence à cette Brésilienne qui a assuré que sa fille de 15 ans était celle du souverain, et a même exigé un test ADN.

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