Charlène de Monaco serait privée de liberté, après « la confiscation » de sa voiture, un puissant 4×4 par crainte d’un accident, alors qu’elle est toujours fragilisée par la malade. Son état se serait nettement améliorée.
Après Corriere de Sera, c’est autour de la version suisse de 20 minutes d’alimenter la rumeur selon laquelle le prince souverain aurait interdit à sa tendre épouse de prendre le volant pour se rendre à Roc Agel, la propriété agricole de la famille princière. Elle serait située à une vingtaine de kilomètres du Rocher.
C’est sur cette longue route très tortueuse que la princesse Grace a perdu la vie. Il ne s’agirait pas d’une punition, mais d’une angoisse légitime pour Charlène de Monaco.
La première dame, qui fera une apparition au Grand Prix de Monaco, serait toujours vulnérable à cause de ses traitements lourds, contre une dépression.
Dans le commentaire en tout cas, son comportement est dénoncé.
« Le comportement de ce "Prince" Albert n’a absolument rien à voir avec la sollicitude : il veut juste un contrôle absolu sur sa femme », est-il indiqué.
« Même au Moyen Âge, les femmes avaient plus de droits qu’Albert n’accorde à Charlène », glisse un autre.
Et un autre d’ajouter : « Le prince Albert semble avoir peur que Charlène découvre le goût sucré de la liberté !