Charlène et Albert de Monaco, accompagnés de leurs enfants, le Prince Jacques et la Princesse Gabriella, ont inauguré la 26e Semaine du Goût consacrée au fromage de chèvre et au topinambour à la mezzanine Eiffel de l’Hôtel Hermitage.
Bien avant que Charlène de Monaco ne se retranche en Afrique du Sud, une critique de son père, Michael Wittstock, un ancien rugbyman devenu homme d’affaires, aurait pu lui faire mal. Il avait alimenté son pétage de câble.
« Elle est née deux mois avant terme et a survécu », confiait celui qui a subi il y a deux ans une délicate opération au dos . Et depuis, il n’a plus été repérée en public.
Charlène de Monaco « a été forte toute sa vie. Mais même la femme la plus forte atteint ses limites », avait-il ajouté, selon les propos rapportés par la version allemande du magazine In Touch.
La première dame du Rocher n’aurait pas goûté à cette sortie médiatique de son illustre père.
« Ça fait mal que son propre père parle d’elle en public de cette manière », glisse la publication. « Quand vous brisez la confiance de votre enfant, on peut s’attendre au pire ».
Michael Wittstock aurait depuis été recadré, raison pour laquelle il ne s’exprimerait plus au sujet de sa fille, qui devrait revenir à Monaco fin octobre, comme elle l’a annoncé elle-même à une radio sud-africaine.
« Elle ne restera plus longtemps loin de ses enfants. Ceux-ci ayant un destin monégasque, ils ne vivront en effet jamais longtemps loin du Rocher. Jacques, marquis de Beaux, est l’héritier direct du Trône ; sa sœur, Gabriella, comtesse de Carladès, est sa doublure (le plan B comme on pourrait le définir cyniquement) », a précisé cette fois « Le Soir Mag ».
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