Relativement discrète depuis son apparition avec sa fille Charlotte et son petit-fils Raphaël au Jumping International de Monte-Carlo ne serait pas pardonnée par sa belle-sœur, Charlène de Monaco.
Cette dernière, actuellement en Afrique du Sud, où elle est une nouvelle fois hospitalisée suite à un malaise, reprocherait toujours à sa belle-sœur un accueil glacial suite à l’amorce de sa relation avec le prince Albert de Monaco.
D’après quelques sources indiscrètes au Palais, l’ainée des Grimaldi aurait tout fait pour évincer l’ex-nageuse, à laquelle elle reprocherait ses origines modestes. Caroline de Monaco aurait espéré une princesse, ou du moins une jeune femme issue de la noblesse, pour son frère.
À l’époque, elle n’avait jamais rien montré, à « l’exception de visage qui parlait pour elle, de ces sourires qui paraissaient si tristes ».
Mais un changement radical se serait opéré depuis la princesse Charlène a mis au monde des jumeaux, Gabriella et Jacques, un statut qui lui « permis d’affirmer son autorité au sein de la famille », a rappelé le magazine Public. Mais depuis le printemps dernier, l’épouse du prince Albert « parait prête à rendre publique sa révolte…Quitte, pour se faire, à tout valser ».
Suite à son entrée dans la famille princière, Charlène de Monaco aurait pourtant été mise en garde à ne « jamais blesser la susceptibilité de Caroline », « considérée comme la Première dame du Rocher », rapportait à l’époque l’Express.
Lors du premier bal de la Croix-Rouge en 2006, « Charlène apparaît, discrète, au bras du prince Georg-Friedrich de Prusse, son chevalier servant d’un soir ».
Et c’est Ernst August de Hanovre, le mari de Caroline de Monaco, qui dansera la première valse avec elle. Essai transformé. Caroline semble avoir adopté la jeune femme ».
Mais depuis, et après quelques faux-pas de Charlène de Monaco, « se croyant intouchable », en annulant ses apparitions à la dernière minute, ce serait la guerre.
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