Brigitte Macron vivrait très mal le confinement imposé par les autorités pour en finir du Covid-19, qui a coûté la vie à plus d’un millier de personnes. Ce serait elle serait issue d’une génération bien plus libérée. Mais heureusement, à l’Élysée, elle échappe au syndrome de dépression causé par le confinement.
Le Figaro s’est intéressé à la manière dont la première dame compose avec le confinement imposée par les autorités sanitaire, et l’affirme au plus mal d’être si isolée, et de ne plus avoir de contact au quotidien avec ses enfants et ses enfants.
La raison n’a pas été précisée, mais dans un ouvrage qui lui est consacré "Madame, la présidente", une proche a livré un élément de réponse pour expliquer son état d’esprit actuel.
L’ex-professeure de français est "une femme des années 1970 avec un rapport au corps plus libéré".
" On était des obsédés sexuels à l’époque, c’était la pilule pour tout le monde à 15 ans et même pas de préservatif ! Les maladies sexuellement transmissibles, ça n’existait pas. Brigitte vient de cet univers-là », a-t-il glissé.
Et après avoir une période de liberté intense, vivre avec des restrictions dans ses mouvements serait plus difficile.
Mais heureusement, elle dispose à l’Élysée d’un parc de 1,5 hectare. Si elle avait été contrainte de vivre dans un petit appartement, des syndromes dépressifs auraient pu être développés, a fait savoir le chef de service des maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière.
« Si on vit dans un petit appartement, et qu’on ne sait pas combien de temps on va devoir y être confiné sans en sortir, le risque de péter les plombs existe. Un individu peut tout à fait développer un symptôme dépressif en restant quinze jours chez lui », précise le spécialiste.
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