Brigitte Macron aurait été traumatisée par le menace qui aurait pesé sur elle, une foule en furie supposée s’être dirigée vers l’Élysée. Et l’agression de son petit-neveu aurait accentué ses craintes, a rapporté France Dimanche.
Pour chacun de ses déplacements, Brigitte Macron a décidé de le faire en toute discrétion, sans prévenir les caméras de télévision.
« Elle ne veut pas déranger, et ne veut surtout pas venir prendre la lumière là où d’autres sont en train de prendre leur envol », a confié une conseillère à Paris Match avant de rappeler que Brigitte Macron avait déjà défini les domaines dans lesquels elle souhaitait s’investir : culture, éducation et handicap.
Pas question pour elle d’ empiéter sur les prérogatives des ministres concernés.
« Si elle commence à faire des déplacements sur le handicap, le risque c’est que plus personne ne s’intéresse à Sophie Cluzel, la secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées, peu connue du grand public. Elle s’y refuse car elle veut laisser le gouvernement faire ce qu’il a à faire », ajoute cette conseillère.
La première-dame doit donc faire montre de discrétion.
Brigitte Macron s’est ainsi rendue récemment à l’Institut Gustave Roussy à Paris, premier centre européen de lutte contre le cancer spécialisé dans la prise en charge des enfants malades. Elle a par ailleurs eu l’occasion de rencontrer un styliste qui fait des vêtements pour les personnes handicapées.
Depuis son arrivée à l’Elysée, elle jouit d’une immense popularité, rappelle Paris Match.
« Elle reçoit trois fois plus de courrier que Carla Bruni qui en recevait déjà beaucoup, soit environ 250 lettres par jour », indique l’Elysée.
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