Le roi Charles III et la reine Camilla Parker-Bowles se rendent en France pour rencontrer Brigitte et Emmanuel avec une énorme valise d’étiquette en remorque.
Discrète ces derniers jours, Brigitte Macron semble avoir eu une certaine influence sur le chef de l’Etat, qui a finalement, malgré la mesure de reconfinement, a décidé autoriser les visites des Ehpad et des personnes âgées. Un syndrome en cause.
Il a été évoqué par la première dame en mai dans Paris Match, où il était par ailleurs question de son rôle dans la Fondation Hôpitaux de France-Hôpitaux de Paris, visant à améliorer la vie des personnes vulnérables dont les plus âgées.
Et lors d’une intervention, il lui a été réclamé un Tovertafel, des tables de projections permettant de solliciter "l’attention des personnes âgées pour éviter le syndrome du glissement ».
Il s’agit d’une « altération de l’état général majeure ».
La personne atteinte par ce syndrome « refuse de se lever, de s’alimenter, de boire, de communiquer. Si elle en a encore la volonté et les capacités, elle demande qu’on la laisse tranquille », a précisé un spécialiste. Brigitte Macron est mobilisée pour l’amélioration des conditions de vie des ainés.
Afin d’éviter que les ainés sombrent avec cet étrange syndrome, les visites aux Ehpad, sont autorisées par le président de la république.
"On les a perdus avec d’autres pathologies comme des syndromes dépressifs », a fait savoir dans Le Parisien, Jean Rottner, président LR de la région Grand-Est, également médecin urgentiste. C’est ce qu’on appelle le syndrome de glissement.
« Les couper de leur famille, c’est les tuer. Ils vont mourir d’ennui et de tristesse, on l’a vu en mars », avait de son côté prévenu Frédéric Adnet, chef des urgences de l’hôpital Avicenne à Bobigny (Seine-SaintDenis).
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