Ary Abittan : Des vacances en demi-teinte à Saint-Tropez, la raison révélée

Mis en examen pour viol en novembre 2021, l’artiste de 49 ans, repéré à Saint-Tropez, a obtenu un nouveau statut de témoin assisté, laissant entrevoir un possible abandon des charges. Cependant, son horizon judiciaire n’est pas encore totalement dégagé.

Les expertises psychologiques réalisées n’ont pas révélé de « personnalité déviante ou agressive », mais malgré cela, Ary Abittan n’est pas encore totalement blanchi des accusations portées contre lui.

Après plus d’un an et demi sous contrôle judiciaire suite à une plainte de sa maîtresse de 23 ans l’accusant d’un acte sexuel non consenti, l’humoriste a vu les juges clôturer l’enquête pour viol le visant. Il n’est donc plus mis en examen pour ce crime. Les nouvelles informations recueillies auraient contredit les déclarations de la plaignante. De plus, d’anciennes petites amies ont témoigné d’Ary Abittan comme étant « un partenaire respectueux », tandis que les expertises psychologiques n’ont relevé aucune « sexualité déviante ou agressive » chez lui.

Cependant, malgré cette évolution positive dans son affaire, l’humoriste a exprimé sa déception concernant l’atteinte à la présomption d’innocence due à sa notoriété. Le monde du spectacle l’a condamné avant même le prononcé du verdict. Des opportunités professionnelles lui ont été retirées, et il espère maintenant retrouver sa place dans le milieu artistique, rapporte le magazine Closer.
Les projets desquels a été écartés ont été rappelés.
Il été écarté « de la promotion de ses derniers films en date (L ’amour c’est mieux que la vie de Lelouch, Ducobu président ! d’Elie Semoun, Qu’est-ce qu’on a tous fait au Bon Dieu ?) . Il a également été évincé de la bande des Enfoirés, d’une série de M6 et privé de son one-man-show, Pour de vrai », indique la publication.
Et il est aussi rappelé que la clôture de l’information judiciaire ne signifie pas pour autant que l’ex-protégé de Gad Elmaleh est définitivement blanchi.

« Les juges d’instruction n’ont, en effet, pas prononcé de non-lieu. Et sa victime aurait déposé une nouvelle plainte pour “violences aggravées sur concubin et préjudice avec plus de 8 jours d’ITT ».