Pour l’occasion, l’homme de loi est revenu sur l’affaire de l’héritage de Johnny Hallyday, et rappelle qu’une chose a été oubliée dans cette affaire, ce sont les volontés du taulier.
Pourtant, ce qu’il voulait était clair.
« Les dernières volontés de l’artiste ont été d’une clarté limpide » a assuré le conseil de la jolie blonde.
Et Me Ardavan Amir-Aslani d’ajouter : « Je me bats pour qu’elles soient respectées ».
« Je ne porte pas de jugement de valeur. Je fais du droit. Point », a-t-il indiqué, précisant par ailleurs que sa cliente est très sereine dans cette affaire, convaincue de son bon droit.
Laeticia Hallyday peut, on le rappelle, disposer du patrimoine laissé par son époux, et peut même vendre certains biens immobiliers.
Mais elle doit respecter un certain nombre de conditions, a précisé son avocat Me Ardavan Amir-Aslani, qui s’exprime cette fois dans les colonnes de Libération.
« aujourd’hui, elle n’est que la bénéficiaire, explique son avocat Me Ardavan Amir-Aslani. Elle n’en a pas le contrôle ».
« le droit d’acheter ou de vendre est le monopole du trustee », explique ensuite l’homme de loi.
« Laeticia peut demander au trustee de vendre l’une ou la totalité des résidences et les remplacer par une ou plusieurs résidences de son choix », indique ensuite Me Ardavan Amir-Aslani.
Mais il y a évidemment une condition, que le prix du bien ne soit pas « supérieur à ce que le Crédit Trust et le Marital Trust peuvent supporter alors qu’ils assurent encore l’entretien de Laeticia ».