Le Palais craindrait des révélations non seulement sur la santé de Charlène de Monaco, mais aussi sur la mort de Stefano Casiraghi, le mari de Caroline de Monaco, et père de Charlotte Casiraghi, supposé avoir été tué par la mafia.
On pensait qu’il a perdu la vie dans un accident de course offshore.
Mystère Entourant la mort de Stefano Casiraghi : Les secrets de Monaco en lumière, s’interroge le magazine Bunte.
Le Palais de Monaco serait plongé dans l’angoisse face à des révélations potentielles non seulement sur la santé de Charlène de Monaco, mais aussi sur la mort tragique de Stefano Casiraghi, le regretté mari de la princesse Caroline de Monaco.
Des soupçons ont plané pendant des années que sa mort, survenue dans un accident de bateau le 3 octobre 1990, n’était pas un simple accident, mais aurait été liée à des menaces de la mafia.
Au moment du décès de Stefano Casiraghi à l’âge de 30 ans, de nombreux proches doutaient déjà de la thèse de l’accident. Des rumeurs persistantes suggéraient que la mafia aurait visé la vie du mari de Caroline de Monaco en raison de transactions immobilières sensibles. Cependant, aucune preuve concrète n’a pu étayer ces allégations à l’époque.
Maintenant, dans le contexte d’un scandale de corruption secouant Monaco, de nouveaux détails pourraient être dévoilés. Ce scandale implique des projets de construction et met en lumière quatre individus puissants, détenteurs des secrets les plus sombres de la cour royale : l’avocat et ami d’enfance du prince Albert, Thierry Lacoste, Claude Palermo (67 ans), ex-directeur financier des Grimaldi et des Wittstock, Didier Linotte (75 ans), président de la Cour suprême, et l’ancien chef de cabinet Laurent Anselmi (61 ans).
Au cours de l’enquête menée conjointement par la police et le parquet, des dossiers contenant des informations explosives ont été saisis et pourraient bientôt être portés à la connaissance du public. Des initiés du Palais craignent que ces documents ne révèlent des éléments concernant le sort tragique de Stefano Casiraghi, ouvrant ainsi une nouvelle page mystérieuse dans l’histoire de Monaco.
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