C’est le rappel de la journaliste Sophie Adriansen, dans son ouvrage « Une Américaine à Monaco », consacré à la princesse Grace.
Un parallèle a été fait entre les éducations reçues par les princesses Caroline et Stéphanie, qui étaient d’une liberté infinie, et celle de leur frère, marquée par une discipline de fer.
Leurs parents, la princesse Grace et Rainier, « étaient parfois dépassés », tant Caroline et Stéphanie de Monaco « débordaient d’une vitalité ».
Et cela contrastait avec le calme qu’Albert de Monaco, qui n’aurait jamais donné de souci à ses parents.
Son regretté père l’avait d’ailleurs. confirmé.
« Je n’ai aucune autorité sur mes filles. Elles me donnent un mal fou. Mais je n’ai jamais rencontré aucune difficulté avec mon fils. », avait déclaré celui qui a perdu la vie le même jour que le Pape Jean-Paul 2.
« Grace a pris la mesure du temps qui a réussi en constatant les différences entre l’enseignement reçu par Stéphanie et l’instruction de Caroline, huit ans plus tôt. La connaissance avait pris le pas sur la discipline », a fait savoir l’auteure, avant d’évoquer le choc du prince Albert aux États-Unis en intégrant une école américaine.
« En allant étudier dans une école américaine : il avait fallu qu’il s’adapte à cette liberté inédite qui lui était laissée. »