Il explique qu’il envisage d’abdiquer un jour au profit de son fils ainé, comme il l’avait indiqué dans Public Sénat. Pour autant, rien ne presse.
« Il faut que Jacques soit prêt et je ne veux pas non plus lui gâcher sa jeunesse. C’est vraiment un dialogue que j’aurai avec lui, mais je ne veux pas rester non plus au-delà d’un certain temps. Quand ce temps sera venu, je saurai m’effacer », explique le prince Albert de Monaco, qui précisait déjà il y a quelques semaines n’avoir aucune intention de trop exposer ses jumeaux.
« Nous allons veiller à ce qu’il n’y ait pas cette surexposition. On essaye de les associer petit à petit, même s’ils sont encore très, très jeunes, à différentes manifestations, disait-il.
« Il faut faire ça avec parcimonie, les amener petit à petit vers le public, qu’ils soient à l’aise avec plusieurs personnes. Je ne suis pas inquiet, il va falloir bien sûr les protéger et il va falloir bien sûr qu’ils aient une bonne éducation, en premier lieu à Monaco, mais aussi en étant exposés petit à petit à plusieurs événements publics, pour qu’ils ne soient plus surpris quand ils seront en âge de prendre certaines responsabilités ».
« Comme nous les avons déjà emmenés dans différentes manifestations officielles, je crois qu’ils sentent qu’il y a quand même quelque chose d’un petit peu particulier dans leur vie d’enfants », notait le souverain.