Adil Rami était gêné lorsqu’il a été interrogé sur sa relation avec Pamela Anderson, ébruitée il y a quelques semaines par Voici.
« Est-ce qu’on aura la chance de voir Pamela Anderson au stade Vélodrome cette saison ? », est-il demandé à l’international français de l’OM.
« Oh punaise. Non… Je ne sais pas quoi te dire… Pourtant, j’ai bien appris ma leçon, mais là… Ça, c’est ma vie privée et je ne suis là que pour parler du football, répond-t-il. Voilà, je suis désolé. Mais bien tenté ! ».
En juin dernier, Voici affirmait leur relation solide.
Le footballeur et la star américaine « semblent déjà ne plus pouvoir se passer l’un de l’autre ».
« Et comme l’ancienne sirène a prévu d’ouvrir un restaurant vegan après de Saint-Tropez cet été et qu’Adil pourrait devenir joueur de l’Olympique de Marseille à la rentrée, ils pourrait faire rimer l’amour et le sud pendant quelques mois ou qui sait quelques années », indiquait Voici.
L’hebdomadaire nous apprenait à cette occasion que l’international français a mis un terme à sa relation avec Sidonie Biémont, la mère de ses jumeaux.
Cette dernière, on le rappelle, s’était confiée dans les colonnes de Télé Star, où elle expliquait qu’il n’est pas facile d’être une femme de footballeur.
La jolie brune revenait d’abord sur sa rencontre avec l’international français de Séville.
« C’était par hasard. Je travaillais comme hôtesse dans la loge Adidas, à Roland-Garros, quand il est arrivé pour fêter son doublé coupe-championnat avec l’OSC Lille. Je lui ai servi un café, je me suis dit ‘il est vraiment pas mal’, mais je me méfiais de la réputation des footballeurs : fêtards, pas très fidèles… Dans l’après-midi, au calme, il est venu me parler et m’a tout de suite fait rire : j’ai craqué », reconnaissait la jolie brune.
Sidonie Biémont avait fini par lâcher son travail pour suivre d’abord son homme à Valence, et ensuite à Milan, et finalement à Séville.
« Je n’imaginais pas à quel point Adil serait absent, entre les matchs, les entraînements, les siestes quotidiennes », explique-t-elle par ailleurs, précisant au passage avoir réussi à composer avec la présence des filles hystériques entourant les footballeurs.
« À Milan, j’ai appris à prendre sur moi. (…) Il y aura toujours des filles plus jeunes et plus jolies que moi, je ne me stresse plus pour autant », disait-elle.
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