Même s’elle n’est pas encore première-dame, Julie Gayet bénéficie de la protection d’une garde rapprochée a confirmé le magazine ’Closer’ dans son numéro du 13 février.
Pour bénéficier de cette protection, la demande doit émaner soit d’une unité spéciale (Unité de coordination de la lutte antiterroriste l’UCLAT) soit de la tête de l’État, et dans le cas précis de François Hollande lui-même.
Le fait que la comédienne de 42 ans dont la relation avec François Hollande a été ébruitée en décembre 2013 par Closer bénéficie d’une protection rapprochée, n’est pas une surprise, pour René-Georges Querry, ex-inspecteur de la police nationale, interrogé sur BFMTV.
’Cela ne me surprend pas que Julie Gayet soit protégée, d’ailleurs par un dispositif très fragile et très faible’, note René-Georges Querry.
’Tout le monde sait aujourd’hui qu’elle est très proche du président de la République, il est donc quand même logique qu’il y ait un peu de sécurité autour d’elle, car elle peut être une cible pour atteindre le chef de l’Etat, et d’une certaine façon, la France’, précise-t-il.
’Elle est quand même aujourd’hui le prolongement naturel de François Hollande, même s’il n’y a pas, semble-t-il, de lien officiel’.