Pour l’occasion, la jolie belge a notamment livré son premier souvenir du festival de Cannes, où elle a ses habitudes.
« Mon premier souvenir, ce n’était pas pour un film puisque c’est ma première fois en compétition cette année », dit-elle dans un premier temps.
« Non, j’y allais pour essayer de rentrer dans des soirées où je ne rentrais pas », regrette celle qui serait toujours un coeur à prendre depuis sa rupture avec le réalisateur Mabrouk El Mecheri, le père de sa fille Ali.
« C’est plus drôle et ça a d’autant plus de valeur aujourd’hui parce que je me suis faite recaler à 17-18 ans avant », dit-elle ensuite, avant de profiter de cet entretien pour saluer les qualités d’Isabelle Huppert, qu’elle a récemment vu au théâtre dans « Phèdre(s) ».
« Et je trouve que, grâce à elle, on ne se pose même plus la question de l’âge. Il n’y a plus d’âge. C’est de plus en plus fluide comme si elle n’avait plus peur de rien. Et ce que "Elle" raconte sur la sexualité des femmes est rare. En ça, ça rejoint d’ailleurs "Victoria", le film de Justine. Voir des femmes de 60 balais avec une sexualité offensive, ce n’est pas tous les jours. Enfin, moi je n’ai pas 60 ans hein (rires) », se réjouit-elle.