La manière dont il use pour soigner « sa tête », Vianney la précise dans les colonnes de Psychologies magazine qui lui offre sa Une.
« Pour soigner ma tête, j’utilise mon corps. J’ai toujours eu besoin de me dépenser physiquement. Je m’ennuyais beaucoup à l’école, et le sport était ma respiration. Le rugby notamment", a confié le chanteur de 30 ans, marié depuis juillet dernier avec une violoncelliste Catherine Robert qui l’accompagne souvent sur scène. Ça, c’est ma vie. J’y ai joué de 7 à 24 ans, et je suis allé des centaines de fois sur le terrain, et chaque fois, oui j’y étais heureux »,
« Pour des questions de performances, mais aussi de dépassement de soi ou des difficultés de l’existence. Le vélo m’a procuré le même plaisir. J’ai roulé jusqu’à Londres, Stockholm, Berlin", poursuit le coach de The Voice qui apparait très apaisé sur les photos publiées par le magazine. Ça me faisait un bien fou ! J’ai eu besoin de ces luxes qui sont à la découverte, les espaces et les silences. Je suis très croyant, mais à cette époque, ma foi ne comptait pas. Il faillait que je me retrouve seul, à dormir dehors avec le minimum nécessaire dans mon sac".
" En pédalant, je me questionnais, j’interrogeais la vie, le monde, mon rapports aux autres. Et ça m’a rapproché du ciel. Je m’adressais à lui dans un rapport assez direct, finalement, ma foi ne serait rien sans ces voyages, a précisé Vianney.
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