L’idylle tropicale de Vanessa Paradis et Samuel Benchetrit à l’île Maurice a viré au suspense. Le couple a frôlé le pire en échappant de justesse à la colère du cyclone Belal. Après Voici, c’est au tour du magazine Ouah, d’aller dans ce sens.
Si Vanessa paradis n’a pas été détruite au début de sa carrière, et qu’elle n’a pas réussi à surmonter les critiques violentes dont elle a fait l’objet, c’est qu’elle a « une vieille âme ».
C’est l’étrange formule employée par Gala, qui lui offre couverture cette semaine.
Le magazine people consacre un dossier à la complicité de la chanteuse de 46 ans et de sa fille Lily-Rose Depp, qui lui a récemment rendu un vibrant message lors d’un entretien accordé à Vogue Australia.
La similitude leurs parcours a été soulignée.
« J’ai passé une grande partie de mon enfance à voyager, confiait-elle, précisant qu’à cause de la surexpositions de ses parents, les choses n’ont pas été faciles. Elle voyageait constamment. « Se lier à des copains, des copines, c’était dur : j’étais rarement au même endroit. J’étais
timide en plus… », a déploré celle qui partagerait la vie de l’acteur Timothée Chalamet .
Gala rappelle à cette occasion que l’enfance de la femme de Samuel Benchetrit n’a pas non plus été facile. A 15 ans, Vanessa Paradis déclenchait déjà des très nombreuses polémiques qui auraient « pu la détruire si, derrière le visage enfantin, il n’y avait eu comme une vieille âme, ou en tout cas un caractère déjà bien trempé ».
Vanessa Paradis cachait sa timidité par « une assurance qui (lui) donnait l’air prétentieux ».
Les gens en avaient assez, mais « ils étaient incroyablement violents à mon égard. C’était franchement démesuré quand j’y pense. Mais ça m’a rendu un gros service, peut-être ça m’a permis de ne pas avoir la grosse tête. Ca m’a permis de savoir que j’aimais vraiment ce métier pour y rester », glissait-elle.
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