Vanessa Paradis, maman de deux enfants, aurait été touchée par la générosité de Johnny Depp, qui lui aurait versé une somme folle à la suite de leur séparation après une quinzaine d’années de vie commune.
C’est confirmé, Vanessa Paradis sera bel et bien à 23 août à la lumière au Festival d’Angoulême pour présenter Maryline, deuxième réalisation de Guillaume Gallienne dont la sortie est programmée pour la fin de l’année.
Sa participation a été confirmée, après avoir été annoncée Dominique Besnehard lors d’une conférence de presse.
">3 juillet 2017Maryline de @GGallienne avec Adeline D’Hermy (@ComedieFr ) & Vanessa Paradis, débutera au @ffangouleme (22-27/8).Ici l’annonce de Besnehard pic.twitter.com/6mXqsIoxrv
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">3 juillet 2017Vanessa Paradis annoncée au #FFAngoulême à l’affiche de #Maryline le nouveau film de Guillaume #Gallienne pic.twitter.com/cbF6wItOHR
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En entretien avec « Elle », Guillaume Gallienne avait comparé Vanessa Paradis à Romy Schneider, après l’avoir dirigée dans « Maryline ».
A la question, « au cinéma, vous avez terminé votre deuxième long-métrage, « Maryline », avec notamment Vanessa Paradis au casting. Impressionnant ? », est-il demandé à l’acteur et réalisateur.
« Oh non, car Vanessa est tellement disponible, tellement généreuse… Prodigieuse, aussi, au point que mon agent, qui a vu le film, la compare à Romy Schneider », expliquait celui qui est actuellement pleine promotion de « La Cenerentola », premier opéra qu’il met en scène, et qui est à découvrir du 10 juin au 13 juillet, Palais Garnier, Paris-9 e.
Dans ce long-métrage, Vanessa Paradis donne la réplique à Adeline d’Hermy, qui endosse le rôle de Maryline.
Eric Ruf, Xavier Beauvois, Pascale Arbillot, et Lars Edinger font également partie de cette distribution.
Maryline est une épopée, celle d’une femme qui n’a pas les mots pour se défendre. Celle d’une actrice qui l’est devenue malgré tout.
Elle ne deviendra jamais Monroe, restera toujours une Norma Jean, modeste et franche, solitaire et touchante.
Après une enfance dans un petit village de province dans une maison aux volets clos, entre une mère alcoolique et un père violent, qui ne reçoivent jamais personne, elle « monte à Paris » pour devenir comédienne.
Son visage, marqué de silences, intrigue. Elle va connaître tout ce que ce métier peut avoir d’humiliant lors du tournage d’un gros film réalisé par un immense metteur en scène aussi talentueux que tyrannique. On la retrouve alcoolique à son tour, dans un rectorat à trier des papiers comme on travaille à l’usine. Mais le métier la rattrape.
Grâce à des rencontres de personnes bienveillantes, elle va s’en sortir, de l’alcool, de la peur des mots et des autres. Ce qui aurait pu être sa vie deviendra une œuvre, dans laquelle elle y jouera le rôle principal, toujours avec force, mystère et modestie.
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