« Je vais faire simple, j’ai aimé me lever en pleine nuit pour vous, vous de l’autre côté du poste, vous tous ici à Europe 1. Je dois vous remercier car pendant quatre ans vous avez été l’excuse idéale pour échapper à quelques pince-fesses », a débuté le journaliste, qui a visiblement préparé son discours.
« Je ne peux citer toutes celles et ceux qui ont compté pour moi dans cette maison, dans cette rédaction. Mon irremplaçable Victoire, qui à force d’arriver de plus en plus tôt et de partir de plus en plus tard finira un jour c’est sûr par se croiser, me dirait que ça va prendre trop de temps et surtout je vais en oublier alors c’est Europe 1. ».
« Et puis si je devais vous laisser un petit post-it, une petite liste de courses, j’écrirais deux-trois trucs. Roger, n’oublie pas de gagner Wimbledon. Au CIO, je dirais de penser de bien nous attribuer les JO de 2024. À Patrick (Cohen), je te souhaite de prendre du plaisir et de réussir pleinement, vraiment. En entrant dans ce studio, tu trouveras deux inséparables, Julie et Laurent Cabrol et si je peux me permettre un tout petit conseil, il faut toujours écouter ce que Julie et Cabrol ont à te dire », ajoute Thomas Sotto.
« À Jean-Jacques Goldman, tu devrais faire comme Michel Sardou, il refait une tournée lui donc tu vois c’est possible, on se voit quand tu veux pour en parler. À Nicolas Canteloup , je voudrais dire aussi qu’il va pouvoir dormir tranquille puisqu’il perd son concurrent le plus sérieux, je sais qu’il n’a jamais osé le dire, mon imitation de Chirac l’a toujours beaucoup inquiété et impressionné », a-t-il déclaré.