Sophie Davant, compagne depuis près de deux ans de William Leymergie, semble avoir un point commun avec Johnny Depp, l’ex de Vanessa Paradis.
Durant son confinement dans sa résidence du sud de la France, où elle compose tant bien que mal avec cette pénible période provoquée par le Covid-19, Sophie Davant a dû verser quelques larmes. Et elle le confirme indirectement.
L’animatrice vedette de France 2 s’est confiée lors d’un entretien accordée au Parisien, où elle a évoqué "Affaire Conclue", qu’elle proposera en direct de chez elle.
Et au détour de ses confidences, des précisions ont été livrées sur la manière dont elle vivait son confinement au quotidien.
"Elle ne m’effraie pas. J’ai l’habitude de ces temps de repli. J’en ai besoin. Je marche, dans le périmètre et le temps autorisés, je fais du sport
chez moi", répond-elle au Parisien qui lui demandait s’elle ne se sentait pas seule. "Je regarde le journal télévisé et j’essaie de ne pas m’abrutir avec les chaînes infos car la situation est très anxiogène".
Et elle a aussi dû verser des larmes. Mais ce n’est pas à cause de la solitude, ou de l’angoisse du confinement, mais pour avoir visionné « 7. Kogustaki Mucize », le chef-d’œuvre turc, proposé sur Netflix. Son fils Nicolas le lui a conseillé. Il est question d’un handicapé accusé du meurtre d’une petite fille.
« Si tu ne pleures pas devant 7.Kogustaki Mucize, un film turc absolument bouleversant, on ne peut plus rien pour toi. C’est dispo », a commenté Netflix sur son compte Twitter.
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