« Un mois après la mort de Ludovic Chancel, la chanteuse ne peut faire son deuil sereinement », indique la publication, expliquant que son deuil est contrarié par les accusations de sa belle-fille qui ne manque pas une occasion de lui envoyer quelques piques.
Très présente sur Facebook, Sylvie Ortega Munos met souvent en doute l’implication de la chanteuse dans l’éducation de son fils.
« Effectivement Ludo a eu une enfance juste sublime et parfaite et il l’a toujours dit !!!! Même si il ne voyait plus sa maman il a toujours continué à l’aimer et il l’a toujours dit !!!
C’est effectivement sa maman qui ne voulait en aucun cas le voir !! », affirmait-elle d’ailleurs.
« j’ai chi*** un taré ‘voila ses mots de madame ! », balançait-t-elle encore, cette fois à propos de Sheila, qui quant à elle continue de garder le silence.
« Quant à Franck il était ami d’ado puis c’est ce Franck qui a préparé son enterrement de jeune garçon avec en cadeaux une strip-teaseuse qui celle ci lui a fait avec les encouragements de ce cher " ami" Franck un enfant dans les toilettes ! », poursuit-elle, en commentaire d’un article paru dans Gala.
« Triste vérité que tous savent ! Ludo le dit d’ailleurs en interview et dans son livre ! », indiquait-t-elle.
Dans Gala, Franck Pedretti, avait confié : « J’ai rencontré Ludovic au cours d’un été, au début des années quatre-vingt dix, dans la Vallée de Serre-Chevalier, où j’ai grandi. Sa mère et son beau-père, Yves Martin, occupaient un appartement au Sporting de Villeneuve-la-Salle ».
« Un ami commun nous a présentés, se rappelle le jeune homme dont le magazine Gala dévoile des photos sur lesquelles on le découvre avec le fils unique de Sheila, qui a perdu la vie le 7 juillet dernier des suites d’une overdose médicamenteuse.
« Ludo s’est rapidement intégré à notre petite bande. C’était un mec superfun, sportif, charmeur, avec un petit côté narcissique qui nous faisait marrer. Son allure suffisait à attirer l’attention », confie cet ami à l’hebdomadaire people.
« A ‘Serre-Che’, sa filiation importait peu. Il lui arrivait de l’évoquer, mais sans arrogance. Ludo était fier du parcours de sa mère », poursuit-il.
Il affirme aussi que la relation entre Sheila et son fils était fusionnelle.
« Ils étaient très fusionnels. Je me souviens des goûters qu’Anny nous préparait dans leur maison de Feucherolles, des bœufs improvisés avec elle et Yves dans le grand studio de la propriété… », indique-t-il par ailleurs.