Le deuxième dans l’ordre de succession à la couronne britannique a notamment a abordé la manière dont la princesse disparue composait avec la pression des paparazzis, qui ne la lâchaient pas d’une semelle.
« les gens auraient été effarés s’ils avaient su » ce que sa famille « vivait au quotidien ». « Je crois que la presse a un peu perdu les pédales, assure-t-il. Ils ont perdu toute notion de décence. Ils ne savaient plus ce qui était convenable ou non ».
« Imaginez, vous êtes la princesse de Galles et une mère de famille, poursuit le prince. Je ne crois pas qu’être poursuivi par 30 personnes à moto qui vous bloquent la route, vous crachent dessus, vous crient dessus, se comportent mal pour obtenir une réaction de votre part, jusqu’à faire pleurer une femme en public, je ne crois pas que ce soit décent. Malheureusement, je me souviens qu’elle pleurait à chaque fois que la presse devenait trop intrusive. Et Harry et moi étions aux premières loges ».
« Chaque fois qu’elle sortait, il y avait une foule de gens pour l’attendre. Je veux dire une meute de chiens, qui la suivaient, la chassaient, la harcelaient, l’appelaient, se querellaient avec elle, essayant d’avoir une réaction, d’obtenir cette photo d’elle ripostant, en colère », regrette l’époux de Kate Middleton.