Le duc du Sussex, épaulé dans sa démarche par Meghan Markle, a pris la décision radicale d’assigner le gouvernement britannique en justice.
Dans son dossier de plainte, révélé par Newsweek, le second fils du prince Charles reproche aux autorités britanniques son refus de financer sa sécurité rapprochée lorsqu’il se rend en Grande-Bretagne, comme récemment à l’occasion du jubilé de platine de la reine Elizabeth.
Pour son retour en Grande-Bretagne, le prince Harry et Meghan Markle ont pu compter sur deux gardes du corps, mais ces derniers ne sont pas autorisés à porter des armes, et ne sont pas non plus autorisés dans certains bâtiments sensibles des palais royaux. Cela mettrait le prince Harry et son épouse dans l’embarras.
Le ministère de l’Intérieur a jugé cette requête irrecevable.
Les membres de la famille royale, en particulier le prince William, seraient irrités par une nouvelle plainte.
Une autre plainte a été déposée l’an dernier, et le prince Harry a été débouté
Son objectif était provoqué un débat et de susciter une réaction de la reine qui continuerait de l’ignorer.
« Le prince Harry a hérité d’un danger à vie après sa naissance. Il reste sixième dans l’ordre de succession au trône, a servi deux fois en Afghanistan et ces dernières années, sa famille a fait face à des menaces bien documentées de la part de néo-nazis et d’extrémistes », a déclaré son avocate au Daily Mail. Et de poursuivre : « Il n’est pas sûr que les Sussex reviennent à Londres ».