Dans un peu plus d’un mois, l’effervescence des fêtes de fin d’année s’installera, et Meghan Markle et Harry planifient déjà leurs célébrations aux côtés de leurs deux enfants. Cependant, loin des traditions royales britanniques et des récentes...
Si Meghan Markle se faisait discrète depuis trois mois, avant un petit retour fin février pour un diner avec le prince Harry et Eugénie d’York, ce serait à cause d’une angoisse liée à sa prise de poids. Cette crainte, la séduisante brune s’en serait débarrassée
Le magazine Woman’s day s’était interrogé dans son numéro daté du 25 février sur l’absence de la duchesse du Sussex durant 104 jours.
Une rumeur aurait circulé selon laquelle sa discrétion serait liée à une grossesse surprise, moins d’un an après la venue au monde de la petite Lilibet. Le bout de chou célébrera son premier anniversaire en mai.
Un autre bruit qui serait plus crédible faisant état d’une absence liée à des troubles alimentaires.
« Tout le monde pensait qu’elle souffrait de troubles alimentaires, mais ce n’est pas le cas », a confié une source qui a décidé de se confier sous le sceau de l’anonymat.
Et de poursuivre : « Le gros problème de Meghan est qu’elle associait la nourriture à la peur de grossir ». C’est sans hantise, à cause de gènes de son père. C’est une maladie familiale.
L’épouse du prince Harry aurait toujours été hantée à l’idée de ne plus récupérer son poids de forme.
Mais finalement, elle serait parvenue grâce à une hypnothérapie, imposée par le prince Harry.
« Elle semble mieux et a retrouvé le sourire », a déclaré un intime.
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