De ce conflit, il en a été question dans « Guerre royale - Mensonges et trahisons », l’œuvre de l’historien Robert Lacey.
Ce spécialiste des têtes couronnées explique que la duchesse du Sussex avait posé son dévolu sur une magnifique coiffe en émeraude dont on disait qu’elle « provenait de Russie ».
Il s’agit d’un terme spécial pour mentionner une « origine sensible, c’est-à-dire que ce trésor faisait partie de ceux qui avaient atterri entre les mains des Windsor après la Révolution russe par des voie « indéfinies ». En gros, il aurait été volé par le Palais. Ce diadème ne pouvait être montré public afin d’éviter des questionnements sur sa provenance.
« Ce printemps-là, la presse s’était mise à fouiner pour savoir exactement quelle princesse tsariste l’avait porté et comment cette dernière avait été assassinée ».
Ni Meghan Markle ni le prince Harry n’auraient été mis dans la confidence, alors que Kate Middleton, qui aurait intégré les codes aurait perçu cette situation délicate. Cela aurait créé quelques frictions entre Meghan Markle et les autres membres de la famille royale, et avec Angela Kelly, l’habilleuse de la reine.