Interrogé par Le Parisien, Pierre Ménès se confie sur sa maladie, quelques mois après avoir reçu une greffe de rein et du foie.
« Au début, je ne voulais pas qu’on s’apitoie sur mon sort avec un bouquin. Et puis, je l’ai fait pour sensibiliser au don d’organes », explique celui qui est actuellement en pleine promotion de son livre « Deuxième mi-temps » qui débarque en librairie le 29 mars.
Le journaliste sportif était atteint de la cirrhose Nash, une pathologie du foie gras humain.
Il avait été hospitalisé l’an dernier après une hémorragie intestinale. Maintenant, il va mieux et continue sa rééducation.
Mais cette terrible maladie lui a fait perdre conscience de la fragilité de la vie.
« On a beau être connu, apprécié, quand on n’a pas la santé, on n’est rien. Une fois, au fond de son lit d’hôpital, on se sent comme une merde », confie-t-il.
Et d’ajouter : « Je ne savais pas ce qu’était la Nash, mais elle pouvait être liée à ma consommation d’alcool. Je ne bois pas, à part un whisky-coca en boîte de nuit, trois fois par an ».
« À quelques jours près, j’étais mort » explique Pierre Ménès, qui reviendra en avril sur Canal Plus.
« Je n’ai pas changé, je suis toujours aussi c** », assure-t-il.
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