Au cours d’une interview, la fille de la princesse Stéphanie de Monaco expliquait se sentir à l’étroit sur le Rocher.
« Ce qui m’oppressais le plus, c’était la petitesse. Très vite, je me suis sentie à l’étroit. À Monaco, quand on a fait trois restaurants et deux cafés, on a fait le tour », avait-elle confié. Ses propos étaient repris par France Dimanche.
Le recadrage du prince Albert de Monaco n’avait pas tardé, en rappelant les membres de la famille princière et les Monégasques à leurs devoirs.
« Être Monégasque, c’est aussi avoir des droits et des devoirs. Par son travail, en Principauté ou à l’extérieur, cela implique de faire honneur à son pays dans la continuité de ceux qui nous ont précédés et dont la vie, à certaines périodes, était moins facile », avait-il lancé lors d’un entretien accordé à « Monaco-Matin ».
La leçon semble avoir été apprise et la séduisante styliste de 27 ans n’a pas hésité à défendre sa tante Charlène de Monaco, fragilisée par les ennuis de santé.
Elle est interrogée sur son état par le Telegraph, qui alimentait des frictions conjugales. De l’intox affirme Pauline Ducruet.
« Je sais ce qu’il se passe », a déclaré Pauline Ducruet. « Je n’ai pas besoin de lire ces magazines pour comprendre ce qu’il se passe. À chaque fois que les projecteurs sont braqués sur la famille, je sais très bien quel est le but recherché ».