Sa fille avait en effet mis fin à ses jours en 2005 après avoir fait face durant de nombreuses années à des troubles alimentaires. Elle n’en pouvait plus. Et elle a préféré mettre fin à ses souffrances.
PPDA reconnait avoir pensé à la suivre.
Dans un extrait de l’émission diffusé par le compte Twitter du programme de France 3, le journaliste parle de « suppression ».
« Comme d’autres, c’est arrivé bien sûr. D’arriver jusqu’à vouloir se supprimer mais ce sont des choses qui arrivent à d’autres. Mais au fond, ce qui compte, c’est quand même de pouvoir se dire que ’Hop, au dernier moment on a la tête hors de l’eau. En tout cas, la bouche hors de l’eau’ », explique-t-il.
L’an dernier, il avait parlé de la mort de sa fille.
« Elle s’est suicidée à dix-neuf ans. On avait une vraie complicité, bien au-delà de la simple relation père-fille », faisait savoir PPDA.
Au moment de se donner la mort, Solenn avait laissé un message : ‘Merci pour tout, mais je n’aime pas la vie’.
‘Elle avait laissé ce message sur mon bureau, dans mon sous-main… Souvent le suicide est une façon d’ôter sa souffrance plus que de s’ôter la vie. Dans son cas, c’était ça. Elle voulait cesser d’avoir mal’.
">19 février 2017