Alors qu’il était en discussion avec Jean-Michel Apathie, le journaliste d’Europe 1 et de France 2 est allé de sa confidence.
« Vous voulez une confidence ? J’ai été entendu pour meurtre il y a une dizaine d’années sur une affaire privée. J’ai été entendu par les policiers pour meurtre. Est-ce que ça fait de moi un criminel ? », a-t-il lancé.
Le journaliste n’a cependant donné plus de précisions sur cette affaire trouble dont il a été cité comme témoin.
Jeudi 8 février, Nicolas Hulot avait de son côté réagir aux accusations d’agression sexuelle sur BFM.
Le ministre de la transition écologique a aussi fait part de son intention de trainer devant les juges les journalistes qui ont déterré cette affaire qui remonte à une vingtaine d’années pour diffamation.
Dans cet article, Nicolas Hulot est mis en cause « sur le fondement d’une rumeur démentie et d’une plainte ayant fait l’objet d’un classement sans suite il y a 10 ans du fait de la prescription, mais aussi du caractère non établi des faits allégués », ont précisé les avocats dans un communiqué transmis à l’AFP.
Cette plainte devrait être déposée avant la fin de la semaine.
« Nous avons reçu pour instruction, Jacqueline Laffont et moi, de lancer cette procédure en diffamation », a déclaré Me Alain Jakubowicz. « Je pense qu’elle sera déposée d’ici la fin de la semaine », a précisé de son côté Me Laffont.