Patrick Bruel risque de s’angoisser pour Amanda Sthers, la mère de ses deux enfants, aux prises avec une surprenante crainte. Elle serait tétanisée. Malgré leur séparation, leurs liens demeurent intacts.
L’écrivaine qui fera son retour en librairie avec "Lettre d’amour sans le dire", édité chez Grasset. La promotion sera assurée une fois cette période de confinement terminée. Peut-être fin avril.
Il s’agit de l’histoire d’Alice, une femme de 48 ans, "cabossée par la vie, et un masseur japonais, rencontré dans un salon de thé", précise le magazine "Biba", qui a recueilli ses confidences. Il a été question de sa relation avec ses enfants.
"Quelque part, mon fils et moi, on a grandi ensemble. Je n’étais pas en train de vieillir, mais de grandir", confie Amanda Sthers, qui a goûté à la maternité pour la première fois à l’âge de 25 ans.
Mais son fils ainé va bientôt partir à l’université, ce qui la tétanise.
"Je ne suis pas prête, c’est trop tôt. Pour lui, c’est super, mais imaginer dans quatre ans, je n’ai plus d’enfant à la maison, c’est compliqué. Ce moment où nos enfants nous appartiennent plus est difficile à vivre", a-t-elle indiqué.
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