Même si Olivia Ruiz s’affirme « dix mille fois plus sereine », depuis qu’elle a goûté à la maternité, cela n’empêche pas le fait qu’elle soit aussi « plus angoissée », comme elle le confie à Gala.
Pour l’aider à gérer son instabilité émotionnelle, elle reçoit le soutien d’une psychologue qu’elle voit régulièrement.
« Je suis toujours en thérapie, et je sens bien que je suis à une croisée des chemins », confie la chanteuse dont le dernier album, À nos corps-aimants, sort cette semaine.
« Par exemple, j’ai peur du rejet, dès qu’on me sépare une nuit de mon fils, qu’il ne me fait pas la fête quand je rentre, je suis en panique », confesse la maman du petit Nino, né de sa relation avec le programmateur musical Nicolas Preschey.
Au cours de cet entretien, la chanteuse raconte aussi avoir passé les six premiers mois collée à son bout de chou.
Elle n’acceptait « aucun rendez-vous avant 10h ni après 19h », afin de pouvoir passer du temps avec lui.
« La maternité décomplexe. Tout à coup, on peut parler de tout car on (re)ssent que l’essentiel est ailleurs, dit-elle par ailleurs.
Ces articles devraient vous intéresser :
