À l’occasion de la sortie de son film Mascarade, avec Pierre Niney et Isabelle Adjani, Nicolas Bedos était l’invité d’En Aparté, l’émission diffuse sur Canal Canal Plus. Et il a évoqué ses liens avec Mélanie Laurent avec qui il serait fâché.
En couple avec Pauline, une sublime avec laquelle il s’était affiché en septembre dernier à Paris, Nicolas Bedos a fait une jolie déclaration à une célèbre romancières. Il s’agit de Leïla Slimani.
"Que j’aime cette femme", commente l’écrivain, comédien et réalisateur sur son fil Instagram, où il réagit à la décision radicale de Leïla Slimani, la Prix Goncourt 2016 avec Chanson Douce, de quitter les réseaux sociaux.
Elle n’en peut plus de la haine "qui s’étale sans filtre".
Son message, le coup de coeur de Nicolas Bedos l’illustre par la couverture du livre de Jean D’Ormesson, "Au Revoir et merci".
"Aujourd’hui j’ai décidé de quitter définitivement les réseaux sociaux, de ne plus utiliser Instagram ou Facebook, a-t-elle écrit. Je ne veux plus cautionner des réseaux où la haine s’étale sans filtre, où aucune surveillance n’existe, où c’est le règne de l’impunité et de la démagogie. Et où leurs fondateurs, dans leurs bureaux de la Silicon Valley, n’ont aucun compte à rendre".
Sa décision a été prise suite la mise en cause des responsabilité des réseaux sociaux dans l’assassinat de Samuel Paty par un terroriste russe d’origine 18 ans.
Pour Leïla Slimani, les réseaux sociaux sont une "arène" pour "fanatiques" et "racistes".
"Je ne peux pas faire comme si mes amis n’allaient pas me manquer, leurs posts amusants, littéraires, poétiques m’ont touchée et fait rire. J’ai pu y rencontrer des gens, entrer en dialogue avec eux et je suis sûre que je trouverai de nouveaux moyens de le faire. J’ai pu y parler de mon travail, faire connaître mes livres et rencontrer des lecteurs. Mais tant que ces réseaux seront une arène où les fanatiques, les haineux, les racistes tordront le concept de liberté d’expression à leur profit ce sera sans moi. Ce soir je me déconnecte pour de bon, le temps de vous dire au revoir et merci."
« On est dans une zone grise de droit international », s’est
emporté de son côté Marlène Schiappa, la ministre déléguée à la Citoyenneté,au micro de RTL, estimant que « les réseaux sociaux n’ont pas atteint ce stade de prise au sérieux ».
Nicolas Bedos est aussi très élogieux sur Caroline Fourest, qui a publié : « éloge du blasphème », « génie de la laïcité », « ge ?ne ?ration offense ?e » (Grasset)
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