Placé en garde à vue jeudi dernier, Nicolas Douchez a évoqué par l’intermédiaire de son avocate les accusations de violences conjugales portées à son encontre.
Au début de la semaine, Le Parisien prétendait qu’une jeune femme de 28 ans avait été retrouvée « nue, en sang, le corps couvert d’hématomes, pleurant, hurlant » au milieu de l’appartement dévasté de Nicolas Douchez, le gardien du RC Lens, qui portait auparavant les couleurs du Paris Saint-Germain.
Le footballeur était décrit comme « énervé, les yeux brillants, sentant fortement l’alcool ».
Ces accusations, l’avocate du footballeur s’est fait un point d’honneur à les démentir.
« Les policiers ont constaté qu’il n’y avait eu aucune blessure, aucun hématome, aucune trace de sang de la plaignante. Donc, Monsieur Douchez sera jugé pour violence sans ITT » a expliqué Caroline Toby. « Il était avec une amie, il y a eu une engueulade, il y a eu des mots forts. Un voisin a dû appeler la police » a-t-elle ajouté.
« Dès le départ, la plaignante n’a pas souhaité déposer plainte, elle l’a confirmé vendredi matin. Elle ne souhaitait pas se rendre aux urgences médico-judiciaires car elle n’avait pas été frappée, c’est elle qui le dit. Elle n’a pas reçu de coup » a poursuivi l’avocate, avant de préciser qu’aucun « hématome » n’a été constaté par les forces de l’ordre.
Nicolas Douchez « est assez meurtri ».
« Car la violence des propos qui ont été relayés par les médias et qui sont faux, il en a pris connaissance. J’espère que la vérité sera rétablie », a par ailleurs assuré l’avocate du gardien de but du RC Lens.
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