Nata­cha Polony regrette son passage dans Le Grand Jour­nal

18 septembre 2015 - 18h30 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

Nata­cha Polony ne garde pas un excellent souvenir de son passage au « Grand Jour­nal » sur « Canal Plus », où elle a officié durant un an comme chroniqueuse.

En mai dernier, lors d’un entretien avec ’TV Mag’, Nata­cha Polony expliquait les raisons de son départ de l’émission quotidienne de la chaine cryptée.

’C’est très simple : j’ai d’autres projets qui ne sont pas compa­tibles avec l’émis­sion, confiait-elle à l’époque. Des choses qui me tentent, qui sont impor­tantes pour moi. Il a fallu faire un choix : j’ai donc décidé de quit­ter Le Grand Jour­nal. Cette expé­rience a été très inté­res­sante. J’ai appris plein de choses. Le Grand Jour­nal est très forma­teur, une grosse machine qui n’a rien à voir avec On n’est pas couché. J’ai vrai­ment adoré, je me suis fait plai­sir. ».

Et cette semaine, elle livre une toute autre version dans les colonnes de « GQ ».

’J’y suis allée réti­cente. Déjà, il y a eu trois mois de négo­cia­tion, je voulais m’assu­rer – par exemple – d’avoir le temps de parole néces­saire. Je voulais avoir une liberté totale. Et puis bon, ce n’est pas tout à fait comme ça que ça s’est passé… », dit-elle avant d’évoquer un cas en particulier : Le jour de l’invitation de Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l’éducation nationale.

« On peut être en désac­cord avec ce que je dis, mais il faut bien avouer que je suis spécia­liste de l’école, donc je connais­sais le sujet, constate Nata­cha Polony. On reçoit une ministre qui vient parler d’une réforme contes­tée et on a quand même réussi à se débrouiller pour qu’il ne se passe rien sur le plateau. On l’a fait réagir à plein de magné­tos débiles, on a demandé à un autre jour­na­liste que moi de présen­ter la réforme, et quand j’ai enfin voulu rentrer dans le vif du sujet, on m’a fait comprendre que je n’avais plus le temps. Prenez quelqu’un d’autre dans ce cas-là ! ». « Plein de fois, je me suis deman­dée ce que je foutais là, on peut le dire. », conclut-elle.

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