« Je l’ai accepté dès le début, c’est une façon de lutter, il y a d’abord la révolte, le stress, la tristesse, mais aussi l’inquiétude, qui ne m’a jamais lâché. Je sais l’issue fatale. Cela ne m’empêche pas de me battre, quoi que l’on me fasse, quoi que l’on me dise », a confié à propos de la maladie la chanteur, qui n’avait pas manqué d’être interrogé sur la mort.
Il avouait y penser.
« J’y pense obligatoirement. Davantage depuis que je suis cloué dans ce lit d’hôpital. Je vis avec elle depuis trois ans. Elle est suspendue au dessus de ma tête », dit-il, en pleurs, selon Paris Match.
« J’ai peur, très peur. Qui a-t-il après, toute ces questions me taraudent ?. Je ne veux pas quitter ce monde, ma famille, mes enfants, ils ont encore besoin de moi. J’ai encore tellement à leur apprendre. Je n’ai pas su les aimer, je ne leur ai pas assez dit combien je les aimais. J’ai sans doute était trop égocentrique. Comme je le regrette », avait-t-il déclaré.