Le fait que sa chère et tendre soit acceptée par sa famille aurait ravi l’héritier de la couronne britannique.
« Il est complètement amoureux de Meghan et veut l’inclure dans sa vie autant que possible », a glissé un proche de la famille royale.
Et de poursuivre en saluant les qualités de la jolie brune :
« J’ai rencontré Meghan l’autre jour pour la première fois. C’est une personne sincère. Une personne très gentille. Elle ne pratique pas le polo mais elle se montre très intéressée. Je lui ai proposé de lui enseigner ».
Public, dans son numéro du 25 mai, affirme de son coté que le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique, aurait demandé « son assentiment à Queen Elizabeth, laquelle le lui aurait donné ».
« Les voyants sont donc au vert pour les fiançailles, qui devraient avoir lieu avant la fin de l’année », indique la publication.
Voici affirmait aussi à la mi-mai que les fiançailles du prince Harry et de sa compagne Meghan Markle ne tarderont pas à être annoncées.
« Harry et Meghan se connaissent depuis un an, ils s’aiment et ne perdent plus une occasion de se voir », rapportait le magazine people.
« Pour tout dire, l’actrice a même mis sa carrière entre parenthèse afin de pouvoir être avec son prince charmant plus souvent. A ce rythme là, l’annonce des fiançailles ne saurait tarder. Et puisque Meghan accompagnera Harry au mariage de Pippa Middleton, nul doute que cela leur donnera des idées », prédisait la publication.
Interrogé sur il y a peu sa relation avec Meghan Markle, le Prince Harry a livré une réponse toute timide.
A l’occasion de la campagne de sensibilisation contre les troubles mentaux, lancée en partenariat avec l’association Heads Together, le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique a répondu aux questions de Sky News sur sa vie sentimentale.
« Oui, ça se passe bien, pour moi… et pour tout le monde », répondait-t-il à une question dans ce sens avant recentrer son discours sur la cause qu’il était venu défendre : « Je veux que ce soit le cas pour tout le Royaume-Uni également. Je ne supporte pas l’idée de voir des gens souffrir en silence, quels qu’ils soient ».