Marie-Victorine a été la maîtresse de Dominique Strauss-Kahn, alors que celui-ci était encore marié à Anne Sinclair.
Et cette juriste revient sur leur aventure dans le cadre de l’émission de Laurent Delahousse sur France 2, qui diffusait un documentaire intitulé « La guerre des gauches : DSK ».
« C’était électrique, il n’y a pas d’autre mot », a raconté Marie-Victorine, qui est arrivée en retard au discours de DSK à la mairie de Sarcelles en février 1997.
« Vous savez littéralement à la seconde que cette personne va avoir un impact sur votre vie », se souvient-elle.
Leur relation s’est amorcée l’après-midi même.
« Mariage ou pas, vie politique ou pas, on est amoureux, explique par ailleurs Marie-Victorine, qui a été quittée par DSK lorsque celui-ci a été nommé au ministère de l’économie.
Au cours de son témoignage, elle explique avoir été contactée par l’avocat de Nafissatou Diallo, qui a voulu la faire témoigner contre son ex amant dans l’affaire du Sofitel.
Mais elle a refusé.
« Je n’ai pas connu un Dominique violeur, je n’ai pas connu un Dominique qui pousse quand on lui dit non. Et ça m’est arrivé de lui dire non », a-t-elle assuré.
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