Michel Galabru a perdu son épouse, Claude, qui était atteinte de la maladie de Parkinson.
En entretien avec le quotidien « Var Matin », le comédien s’est en effet confié sur cette douloureuse disparition.
’Ma pauvre femme est morte après une maladie atroce… On s’y attendait forcément parce que c’est une maladie qui ne pardonne pas. Je ne souhaite à personne cette maladie de Parkinson’, a confié le comédien, très attristé.
’C’est très long à se développer, a-t-il expliqué. Ma femme sort un jour de chez le médecin. Elle était encore relativement jeune et elle m’a annoncé ça. Sur le moment on ne voit rien d’inquiétant. Mais on ne savait pas. On n’est pas médecin. Et puis quand ça commence à se développer, c’est affreux. C’est comme Alzheimer. Des choses qui ne devraient pas exister’.
Malgré le drame, Michel Galabru prend les choses avec philosophie.
’Que voulez-vous. Tout est programmé, a-t-il poursuivi dans les colonnes de « Var Matin ». Vous ne pouvez rien faire. Nous sommes prédestinés. C’est en ce sens que s’il y a un dieu, on ne peut pas dire qu’il est gentil’.
C’est donc en solo que le comédien restera à Paris, au lieu de se rendre dans sa maison familiale d’Avène-les-Bains.
’Ma femme vient de mourir. Tout est bousculé. Tout est changé, a-t-il expliqué. Et puis c’est trop isolé. Si vous avez un pépin de santé, le temps d’alerter les secours vous êtes mort… Donc je reste sur Paris. C’est plus sûr’.
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