« Jean-Luc, Jean-Luc, si tu te présentes à la primaire, tu peux la gagner la primaire de la gauche », a commencé Daniel Cohn-Bendit avant d’être coupé par le second.
« Monsieur Cohn-Bendit, est-ce que vous pouvez m’appeler par mon nom et pas par mon prénom s’il vous plaît. Nous ne sommes pas amis. Vous le savez, ne jouons pas la comédie ».
« Va te faire voir... Non je n’ai pas de question à lui poser. On s’est toujours tutoyé... s’il a pas envie, qu’il aille tutoyer Castro et puis voilà », poursuit Daniel Cohn-Bendit « Qu’il me foute la paix ! », conclut le député européen.
Laurent Delahousse tentait tant bien que mal de calmer les choses.
">27 novembre 2016