« Quand on interviewe un président aux Etats-Unis, il y a des questions très incisives, a-t-elle d’abord comparé au micro de « Europe 1 », où elle s’est longuement livrée, quelques mois après avoir été évincée de l’équipe présidentielle suite à une demande excessive. J’aime beaucoup Laurent Delahousse et je ne vais pas faire de langue de bois parce que ce n’est pas dans mes habitudes. Mais, il aurait dû, à mon sens, aller plus loin dans les problèmes importants ».
« Il y a des questions, sur le sapin de Noël par exemple, qui sont sympathiques mais, quand on a la possibilité d’avoir en face de soi un président qui ne parle pas beaucoup, je crois qu’il faut, au mieux, essayer de poser les questions qui parfois fâchent », indique-t-elle, allusion à l’ultime question du journaliste vedette de France 2.
« C’est une période difficile pour les Français, vous leur dites ’N’ayez pas peur de toutes ces révolutions que je vous propose ??’ », avait alors demandé le compagnon d’Alice Taglioni.